OH!SOM Architectes

OH!SOM Architectes                                                  Baptiste Franceschi, Stéphanie Durniak,              Caroline Mangin et Marie Fade

 

Comment devient-on étudiant(e) en architecture ?

BF : Par curiosité.

CM : Par hasard pour ma part… Il me semblait à 17 ans que ce choix me permettrait d’avoir à la fois un métier alliant l’art aux mathématiques. En fait, il est bien plus large.

SD : Par envie d’obtenir les outils pour concevoir des lieux agréables et fonctionnels.

MF : Par envie de concevoir l’espace.

Quel a été votre parcours depuis votre diplôme?

BF : Diplôme en 2009 – HMONP en 2010. Collaborateur chez « agence AT » à Marseille jusqu’en 2011.

CM : Diplôme en 2009 – HM

ONP en 2010. Collaboratrice chez « Duchier Pietra » jusqu’en janvier 2013, en même temps des concours ouverts ou d’idées avec Baptiste, Stéphanie et Marie.

SD : Diplôme en 2009 – HMONP en 2010. Collaboratrice chez Sériès & Sériès puis chez Adrien Champsaur jusqu’en 2011.

MF : Diplôme en 2008 – New York 3 mois + 1 tour du monde pendant 1anHMONP en 2011- Collaboratrice chez Carta et associés jusqu’en 2013.

OH!SOM : Création de la société OH!SOM en Février 2013 – Nomination au prix de l’équerre d’argent catégorie première œuvre en 2014 – Lauréat des AJAP 2016.

Parmi vos projets, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui vous tient (tiennent) le plus à coeur ?

Le projet de la Vigie de Figuerolle, première commande et premier projet réalisé qui a permis d’obtenir une certaine visibilité et de mettre en avant notre architecture ainsi que le projet des 95 logements sociaux à la Duranne (Aix-en-Provence) qui est la plus importante commande à ce jour pour notre agence. C’est elle qui a permis à l’agence de se stabiliser dans le temps tout en nous permettant de travailler sur un programme qui nous tient particulièrement à cœur.

Quels souvenirs gardez-vous de vos années à l’ensa•m ?

BF : La semaine de workshop / L’environnement naturel / Des profs de projet investis pour leurs étudiants / La cafet !

CM : Une belle période, une certaine insouciance ou méconnaissance de ce qui nous attendait vraiment, et tant mieux !

SD : Les voyages d’études et les parcours en bus sans fin.

MF : Les rendus collectifs et leurs longues journées d’échanges intensifs.

Un dernier mot (un conseil, une réflexion…) ?

Un métier qui demande beaucoup, qu’on ne peut pas faire sans passion ni conscience mais qui permet de devenir une personne curieuse et ouverte au monde.

 

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