Jean-Louis Izard

Enseignant-Chercheur

 

Comment êtes-vous devenu enseignant à l’ensa•m ?

Par la recherche et pour la promotion de nouvelles connaissances et pratiques en architecture.

Quelles actions et projets d’enseignement avez-vous développé à l’ensa•m ? Dans quel contexte ?

Participation à l’enseignement du projet : application des principes bioclimatiques.

Cours sur les outils de l’architecture climatique.

 

Comment êtes-vous devenu chercheur à l’ensa•m ? Dans quel(s) laboratoire(s) ? ?

Recherches CORDA engagée au Groupe ABC (1975) ; Laboratoire ABC (directeur du laboratoire jusqu’en 2011).

Quelles actions et projets de recherche avez-vous développé à l’ensa•m ? Dans quel contexte ?

Les outils de l’Architecture bioclimatique.

 

Quels est votre meilleur souvenir et/ou la personne qui vous a le plus marqué à l’ensa•m en tant qu’enseignant et chercheur ?

La personne qui m’a le plus marqué est certainement Paul Quintrand, par la richesse des échanges que nous avons eu, par la rigueur de sa pensée et de son action, par l’ouverture dont il a su témoigner pour mettre en oeuvre un enseignement pluri-disciplinaire.
Il fut avec d’autres en France (J.P. Penaut, P. Boudon, …) celui qui permit de mettre en place de façon pérenne, une recherche
dans les écoles d’architecture.
Mais cette dynamique n’a pu se concrétiser et perdurer que par l’investissement de tous ceux qui ont décidé de s’investir à plein temps comme enseignant-chercheur et par ceux qui aujourd’hui encore font ce choix.

Mais se limiter à une personne est par trop restrictif, il faudrait citer ici tous les enseignants qui ont participé à ma découverte de la richesse du domaine architectural, les étudiants qui m’ont permis de faire évoluer l’enseignement par leurs discussions constructives en marge des cours, le personnel administratif sans lequel rien ne serait possible.

Je garde de ces années durant lesquelles se complétaient enseignement, recherche, formation continue, partenariats locaux, nationaux et internationaux, un souvenir de plénitude des actions menées. En extraire un souvenir particulier, relèverait de l’anecdote et affaiblirait à mes yeux, le vécu de ces quarante années.

Quant au meilleur souvenir, je dirai plutôt que je n’ai aucun mauvais souvenir de cette période de 40 ans passés dans cette école.

Un dernier mot (un conseil, une réflexion) ?

Fier d’avoir été pionnier en matière d’enseignement et de recherche sur l’architecture environnementale dès les années 70…

 

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